Une rugosité microscopique

À partir d’un matériau hydrophobe à l’angle de contact élevé, il est possible de créer un matériau à l’angle encore plus élevé: pour ce faire, on lui ajoute une texture microscopique ce qui maximise l’angle de contact entre le liquide et le solide. À partir d’un matériau hydrophobe microstructuré, on peut donc obtenir une surface superhydrophobe.

Dans le cas de nos exemples végétaux, la couche de cire qui recouvre la feuille est hydrophobe et cette même feuille présente de micro-aspérités qui permettent le principe de la super-hydrophobie.

Chez le gerris et le canard, ce sont de micro-poils qui font office de structure afin d’optimiser l’angle de contact.

Laisser un commentaire